Ode aux sous-bois faits maison

Que depuis que la station le jour voit
Abatteurs et ébrancheurs arpentent les bois
Passionnés et amateurs de surcroît
Ils y façonnent et sculptent des voies
À la coupe raisonnée pour des restes serrés

Quand le blanc se substitue au brun
Pieds fixés aux planches de bois
Tout en glisse nous progressons un brin
Y restons pourtant aux abois
Dans ce chemin de cimetières et d'épaves
Où se cachent entrée et sortie